Le présentiel n’est plus le seul vecteur de l’interaction sociale. Moins convivial mais plus pratique, le distanciel réduit la contrainte du temps et des distances. Partisans et détracteurs se rejoignent sur un point : il permet de maintenir le lien. Il nous permet surtout de poursuivre nos missions.
Qu’importent les sensibilités, les membres de l’ANdEP ont su s’adapter. Dématérialisées, nos réunions n’en restent pas moins d’une excellente qualité. Deux thématiques clefs ont été récemment abordées : les expérimentations liées à l’universitarisation de nos formations et la gouvernance de nos instituts. Les expériences partagées et les informations échangées nous ont permis d’élaborer de nouvelles propositions et de nouvelles idées.
Au regard des bénéfices constatés, nous renouvellerons régulièrement
l’expérience. Nous étudierons prochainement l’épineuse question de l’apprentissage. En plein développement dans certains cursus de formation, dont ceux des masseurs-kinésithérapeutes et des aides-soignants, il l’est beaucoup moins chez les infirmiers. Cette alternative présente pourtant des avantages non négligeables sur le plan professionnel, personnel et financier. Des solutions concrètes doivent être rapidement envisagées.
Dans quelques jours, les étudiants prendront des vacances bien méritées. Nous espérons sincèrement les retrouver début janvier… si la situation sanitaire le permet. Quoi qu’il en soit, nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année que les gestes barrières ne pourront pas affecter !